Pour une exploitation de 60 vaches laitières, les fumiers et lisiers représentent 27 à 38 000 € de valeur ajoutée par an. Pourtant, les enquêtes menées chez les agriculteurs montrent que l’on valorise 40 à 60% de ces effluents. C’est donc une source d’autonomie immédiate sur les exploitations.
Réduire sa dépendance vis-à-vis des intrants type engrais passe par 3 phases :
- L’amélioration de la valeur fertilisante et amendante de ses effluents
- L’analyse du fonctionnement du sol pour connaître ses besoins et sa capacité à valoriser les effluents
- L’adaptation des pratiques d’épandage pour nourrir au mieux le sol et les plantes.
Améliorer la valeur fertilisante et amendante de ses effluents
Vertal vous propose le VERTAL FERTIFUM®, une solution, simple d’application, qui permet d’améliorer la valeur fertilisante de ses fumiers. Il permet de stimuler la flore aérobie au détriment de la flore anaérobie pour fixer les éléments fertilisants sous forme organique et non sous forme minérale (volatile et lessivable). En moyenne, le Vertal Aérobiose permet de gagner 30% d’azote organique valorisable par les plantes et augmente la valeur économique d’une tonne de fumier de 25 à 35€/T brut.
Évaluer les besoins de ses sols pour connaître sa capacité à valoriser les effluents
Si vous êtes éleveur laitier, il vous est inconcevable de nourrir de la même manière une Prim-Holstein et une Montbéliarde alors que les deux produisent du lait. Si c’est une évidence pour les vaches, ceci l’est beaucoup moins pour les sols qui pourtant produisent les mêmes cultures.
L’optimisation de la gestion des effluents sur l’exploitation demande de bien connaître ses sols, c’est-à-dire :
- les besoins en matières organiques (fraîche et humus, différents selon la granulométrie)
- le délai de minéralisation de la matière organique (fonction de l’activité microbienne)
- la répartition de la minéralisation au cours de l’année (statut hydrique, qualité de structure)
Cette analyse fine des sols permet aussi d’avoir une conduite globale cohérente avec les besoins des sols. En effet les amendements, le travail du sol, les effluents, les couverts, l’assolement sont des actions qui sont liées entre elles qui peuvent être source de valeur ajoutée ou source de charges supplémentaires (désherbants en particulier).
Adapter les pratiques d’épandage pour nourrir au mieux ses cultures
Une fois que l’on connaît la valeur de ses effluents et la capacité de ses sols à les valoriser, on peut adapter ses pratiques d’apport aux besoins des cultures. Tout apport supérieur aux besoins des cultures sera au mieux perdu (lessivé), au pire valorisé par des mauvaises herbes (Mouron des oiseaux par exemple) entraînant un surcoût de désherbage.
Le mot de la fin
En conclusion, les fumiers et lisiers sont d’importantes sources de valeur ajoutée. Ils permettent une gestion durable et rentable de l’exploitation. En élevage laitier ou allaitant, ceci représente plusieurs milliers d’euros de gains potentiels à condition de mettre en place une démarche globale sur les effluents, les sols et les pratiques d’épandage.
Pour une exploitation de 60 vaches laitières, les fumiers et lisiers représentent 27 à 38 000 € de valeur ajoutée par an. Pourtant, les enquêtes menées chez les agriculteurs montrent que l’on valorise 40 à 60% de ces effluents. C’est donc une source d’autonomie immédiate sur les exploitations. Réduire sa dépendance vis-à-vis des intrants type engrais […]
...Pour une exploitation de 60 vaches laitières, les fumiers et lisiers représentent 27 à 38 000 € de valeur ajoutée par an. Pourtant, les enquêtes menées chez les agriculteurs montrent que l’on valorise 40 à 60% de ces effluents. C’est donc une source d’autonomie immédiate sur les exploitations. Réduire sa dépendance vis-à-vis des intrants type engrais […]
...Pour une exploitation de 60 vaches laitières, les fumiers et lisiers représentent 27 à 38 000 € de valeur ajoutée par an. Pourtant, les enquêtes menées chez les agriculteurs montrent que l’on valorise 40 à 60% de ces effluents. C’est donc une source d’autonomie immédiate sur les exploitations. Réduire sa dépendance vis-à-vis des intrants type engrais […]
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